Premiers contacts
Walther Nernst est conscient que le « Concile » doit avoir lieu en terrain neutre.
Walther Nernst tient à demeurer en retrait : le « Concile » doit être convoqué par une personnalité « non allemande », étrangère à sa sphère professionnelle. Il songe à Ernest Solvay, ce grand industriel belge et mécène des sciences dont il a fait la connaissance en 1899.

Lettre de Walther Nernst à Ernest Solvay, 26 juillet 1910 + en annexe :
« Einladung zu einem Concile scientifique internationale (sic) pour élucider quelques questions d'actualité de la théorie cinétique » (original)
Document soumis par Walther Nernst à Ernest Solvay, le priant de signer les lettres d’invitation.